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Titre: ETUDE DE LA FREQUENCE DES PRINCIPAUX VIRUS ET VIROIDES PHYTOPATHOGENES DES PRUNUS CULTIVES EN ALGERIE
Auteur(s): Rouag, Noureddine
Mots-clés: Rosacées fruitières à noyaux
virus
viroïdes
diagnostic sérologique
RT-PCR
Dot-Blot
tissue immunoprinting hybridzation
Date de publication: 2-oct-2018
Résumé: La connaissance de l’état sanitaire des rosacées fruitières en matière des agents phytopathogènes transmissibles par matériel végétal de propagation constitue un préalable pour l’établissement de tout programme de production et de certification des plants arboricoles indemnes. A cet effet, le présent travail, s’est intéressé à l’étude de la fréquence des principaux virus e viroïdes inféodés aux prunus cultivés en Algérie. Les résultats sérologiques et moléculaires de 967 échantillons provenant de trois étages bioclimatiques et de trois systèmes de conduite différents nous ont donné un taux d’infection général de l’ordre de 17,58 %. Quatre principaux virus à savoir trois Ilarviruses (PNRSV, PDV et ApMV) et le PPV ont été détectés par DAS-ELISA en plus du CVA qui a été détecté par RT-PCR. La détection du PPV et du CVA constitue une première signalisation en Algérie. Les résultas d’analyse des prunus spp nous ont donné que la sensibilité est liée à l’espèce et à la variété cultivée, puisque les variétés porte-greffes sont infectées à hauteur de 21,88 %, alors que les variétés cultivées ne sont infectées qu’à hauteur de 17,11 %. Il en ressort également que le pêcher avec un taux d’infection de l’ordre de 27,14%, est l’espèce la plus infectée, alors que l’amandier avec un taux de 8,26% se présente comme le moins infecté. Concernant le diagnostic des deux principaux viroïdes (PLMVd et HSVd), au total 1128 échantillons ont été prélevés à la fin de la saison végétative (septembre-octobre, 2004 - 2007) et analysés par dotblot hybridation et tissue-immunprinting hybridization. Les résultats nous donnent un taux de fréquence égal à 5,59 % quant à la fréquence individuelle, on a enregistré des taux de l’ordre de 3,19 % et 3,63 % respectivement pour le PLMVd et HSVd. La détection du HSVd dans la région d’étude constitue la première signalisation en Algérie. L’influence des hautes températures de champs et les basses températures de conservation (- 20°C) agit négativement dans la réduction du titre viral à l’intérieur de la plante infectée.
URI/URL: http://dspace.univ-setif.dz:8888/jspui/handle/123456789/2638
Collection(s) :Thèses de doctorat

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