L’impact des représentations mentales et matérielles dans la pratique de l’espace habité en milieu urbain Algérien cas de la ville de Sétif

Abstract

Ce travail de mémoire intitulé l’impact des représentations mentales et matérielles sur la pratique de l’espace sociale en milieu urbain algérien, se présente comme une tentative de contribution basée sur les travaux des structuralistes sur l’espace habité en plus des travaux d’Edward T.Hall, Jean Jacques Deluz, Bourdieu Marc Cote traitant de la spatialité algérienne et L’espace habité dans ce milieu algérien. Aujourd’hui pratiquement versé dans l’angle de la désorientation, il est souvent décrit comme étant en défaillance et en contradiction avec les principes culturels et religieux de cette société qu’il soit hérité, colonial ou nouvellement conçu. Ce modeste travail consiste en une initiation pour un début de recherche dans l’objectif d’essayer de comprendre quelle est la ou les manière(s) de pratiquer l’espace habité en milieu urbain algérien, qu’elle est cette manière d’agir ou d’exercer cet espace habité entre héritage colonial et conception populaire dans une observation comparative entre deux unités de quartier à caractère individuel opposé par deux conception différente pour un même habitant. This thesis titled “The impact of mental and materiel representations on the practice of social space within Algerian urban environment” is a contribution attempt to the work of various stucturalists on the inhabited space as well as the specific work of d’Edward T.Hall, Jean Jacques Deluz, Bourdieu Marc Cote dealing with Algerian spatiality and the inhabited space in Algerian environment. Indeed, this later is practically disoriented, often described as falling or even in contradiction with the cultural and religious principals of the society whether they were inherited, colonial or newly conceived. This modest work is an initiation to begin a scientific research aiming to understand the best way to practice inhabited space within Algerian urban environment, what is this method of acting and practicing the inhabited space between colonial legacy and popular conception, within a comparative observation between two neighborhood units having an individual character but opposed by two different conceptions for the same inhabitant.