DSpace
 

Dépôt Institutionnel de l'Université Ferhat ABBAS - Sétif 1 >
Institut d'Architecture et des Sciences de la Terre >
Mémoires de magistère >

Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : http://dspace.univ-setif.dz:8888/jspui/handle/123456789/1973

Titre: Le dessin d’architecture : du point au pixel
Auteur(s): Azizi, Nourredine
Mots-clés: point au pixel
Dessin d’architecture
Date de publication: 7-jui-2018
Résumé: L’intitulé du présent mémoire, Le Dessin d’Architecture : du Point au Pixel rappelle de manière implicite comment le dessin d’architecture a pu et peut encore évoluer dans l’avenir. Dessiner, c’est représenter des objets. Cet acte nécessite un support, des instruments pour dessiner et d’autres pour d’éventuelles modifications. Support et instruments de dessin constituent l’équipement du dessinateur. Chaque époque a eu son propre équipement et chaque équipement a évolué avec son temps. Dans le domaine du dessin d’architecture, ne l’oublions pas, il y a plusieurs points à traiter afin d’arriver à cerner ce bel outil que l’architecte s’est octroyé comme compagnon : l’équipement pour commencer, les rudiments ensuite et l’environnement à la fin. Passer du tracé sur le sol à celui sur papyrus à celui sur papier kraft pour atterrir sur l’écran d’un ordinateur a dû nécessiter énormément de temps. Quant aux rudiments de base pour apprendre à dessiner, nous avons été témoins, à travers toute une littérature, de la multitude de formes qu’a pris le dessin pendant qu’il voyageait à travers le temps : les peintures rupestres suivies des dessins des anciens Egyptiens, puis des dessins moyenâgeux manquant de profondeurs, ensuite des débuts de la perspective qui est venue bouleverser tous les Arts à la fois, enfin du dessin géométral qui s’est résolu à s’associer les bienfaits de l’ère de l’information. Le dessin d’architecture a fait ses premières armes chez les artistes d’avant la Renaissance. Les grands maîtres lui ont créé ensuite des ateliers pour l’y voir grandir mais c’est dans les Beaux-arts qu’il ira mûrir avant de se voir invité de marque des Grandes Académies. Pour rendre service aux amoureux de l’architecture qui ne savaient pas dessiner, il accepte de s’allier les Ecoles des Ingénieurs ensuite les Ecoles Polytechniques avant de rejoindre bon gré malgré le monde des écrans et de la digitalisation. Beaucoup d’architectes pensent s’être débarrassés à jamais du rapido et du crayon. Ils oublient que ce dernier restera vivace et maître à bord sur le radeau de l’esquisse mais pour combien de temps ?
URI/URL: http://dspace.univ-setif.dz:8888/jspui/handle/123456789/1973
Collection(s) :Mémoires de magistère

Fichier(s) constituant ce document :

Fichier TailleFormat
Point_au_Pixel (2).pdf8,3 MBAdobe PDFVoir/Ouvrir
View Statistics

Tous les documents dans DSpace sont protégés par copyright, avec tous droits réservés.

 

Valid XHTML 1.0! Ce site utilise l'application DSpace, Version 1.4.1 - Commentaires